Coulage du plancher de l’étage

Mardi dernier, opération coulage du plancher de l’étage. La mise en place des poutrelles et hourdis plastique étant terminée, le coffrage de la trémie d’escalier également, il était temps de couvrir tout ça d’une bonne couche de béton, d’autant plus que la météo nous promettait encore quelques jours avec une température positive.

Dans l’ensemble, tout s’est bien passé puisque le plancher et toujours debout et capable de supporter mon poids aujourd’hui mercredi ;-) Par contre, comme tout plancher au 52 avenue Jean Mermoz, ça n’a pas été sans mal !

En effet, la pompe est déjà arrivée avec un bonne heure de retard... Du coup, on oublie les conseils de classe du soir pour moi... Pas grave, il y en aura encore deux et mes élèves sont sympas :-)

Le bras de la pompe est trop court, il faut allonger avec des tuyaux rigides, ce qui ne simplifie pas l’étalement du béton, m’enfin on est de bonne humeur, on ne dit rien... Mais on avait commandé une grande pompe (ha ha... une grande pompe !)

Le début de la coulée se passe sans problème.

J’avais déjà eu un préssentiment sur la nervosité du "pompiste" lorsqu’il est entré sur le terrain et qu’il a littéralement explosé le poteau d’angle du grillage qui avait cependant déjà bien souffert...
Mes soupçons se sont confirmés lorsqu’une erreur de manoeuvre de la flêche a défoncé un des hourdis plastiques !

Finalement, qu’on se rassure, on a d’abord coulé la partie opposée du plancher, puis changé le hourdi abimé en attendant la seconde toupie.

Quelques fuites le long des murs nous ont fait croire à des poteaux de volume infini... Brèches vite colmatées. Le béton "perdu" à l’étage inférieur a été récupéré à coup de seaux et à la lampe balladeuse, car il fait nuit tôt !

Bref, encore un truc classique et sans histoire quoi ;-)